Marquée par l’expérience mal vécue du « tout à distance » pendant la crise sanitaire, la génération Z reste très demandeuse de flexibilité spatio-temporelle au travail. Fer de lance du travail hybride, ces jeunes ne veulent pas devoir choisir entre présentiel et distanciel, mais concilier le meilleur des deux mondes. Ils demandent aux entreprises d’organiser une flexibilité de qualité, pensée de manière systémique : lieux de travail, temps de travail, équipements et outils numériques, processus… L’écoute de leurs attentes donne des pistes pour dessiner le futur du travail et de son organisation.