Provoquant autant d’enthousiasme que d’inquiétude, l’IAG (ChatGPT, Dall-E, Claude, Midjourney, etc.) empiète sur des fonctions cognitives supérieures autrefois réservées à l’humain, et son adoption est aisée grâce à des interfaces en langage naturel.
Teams, Zoom, Microsoft 365, Slack, Drive, Dropbox, visioconférence, messageries professionnelles ou plates-formes de partage et stockage documentaire… Cette multitude d’outils numériques s’ajoutent les uns aux autres, impactant négativement le bien-être des salariés et l’efficience organisationnelle.
Cela fait déjà une petite dizaine d’années que le monde anglo-saxon s’intéresse au management de l’entreprise chinoise Haier, devenue en 40 ans le leader mondial de l’électroménager.
Le nouvel ouvrage de la chaire FIT2 en partenariat avec La Fabrique de l’industrie consacré aux effets sur le travail des outils numériques collaboratifs
Le Métavers a été le buzz word de l’année 2022, récemment remplacé par le phénomène Chat GPT.
Cet article s’intéresse au mouvement no code, qui connaît actuellement un fort engouement, et à ses impacts sur les activités professionnelles et l’organisation du travail.
Ce Repère n°9, « L’E-mail est mort. Vive l’e-mail », offre de nombreux exemples des impensés organisationnels au sein des usages collectifs du numérique professionnel, et esquisse les principes d’une régulation multi-dimensionnelle.
Dans ce Repère n°8, vous découvrirez comment des entreprises inspirantes innovent en contexte hybride pour réduire la fréquence et la durée des réunions, tout en améliorant leur efficacité et les logiques collaboratives.
Ce 4ème Repère Futurs du travail est consacré aux impacts des plateformes no-code sur le travail sous l’angle de l’adoption, des usages et de l’organisation du travail.
Les transformations techniques et managériales des usines, selon la manière dont elles sont menées, peuvent réduire les marges d’autonomie des opérateurs et techniciens ou au contraire renforcer leur pouvoir d’agir. François Pellerin et Marie-Laure Cahier documentent des situations de « design du travail » dans des usines en transformation rapide et observent comment la participation des travailleurs y est plus ou moins sollicitée.
